
Quelle est cette empreinte dans l
a roche ?Sur les sons mélodieux
d’une harpe, un visage tourné vers les cieux
Le souvenir d’anciennes civilisations, la frénétique danse des ancêtres
Quelle est cette empreinte dans l
a roche ?Sur les sons mélodieux
d’une harpe, un visage tourné vers les cieux
Le souvenir d’anciennes civilisations, la frénétique danse des ancêtres

La brèche dans la Roche,
Je ressens une vive pénétration,
Une blessure qui s’éveille ; la force de la Vie
L’agglomérat de 2 matières en absorption
La brèche dans la Roche,
Je ressens une vive pénétration,
Une blessure qui s’éveille ; la force de la Vie
L’agglomérat de 2 matières en absorption

Toutes ces couches de matière, toute l’histoire de l’humanité,
Ce sont les passages de la Vie.
Qu’est ce qui est donc enfermé, enfoui ?
C’est le temps infini qui s’écoule.
Toutes ces couches de matière, toute l’histoire de l’humanité,
Ce sont les passages de la Vie.
Qu’est ce qui est donc enfermé, enfoui ?
C’est le temps infini qui s’écoule.

Les jets de lave se sont unis pour former un grand soleil
Qui tourne à grande vitesse et nous inonde de ses rayons.
Eclaire moi afin que je puisse voir ta lumière dans tous les
moments de mon existence.
Les jets de lave se sont unis pour former un grand soleil
Qui tourne à grande vitesse et nous inonde de ses rayons.
Eclaire moi afin que je puisse voir ta lumière dans tous les
moments de mon existence.

Tu es la femme, la mère, la protectrice de toutes les vies,
Tu es ma terre, tu es ma force,
Puissance infinie au pouvoir créateur
Tu es l’univers, l’âme du monde et la joie rayonne
Tu es la femme, la mère, la protectrice de toutes les vies,
Tu es ma terre, tu es ma force,
Puissance infinie au pouvoir créateur
Tu es l’univers, l’âme du monde et la joie rayonne

Un passage, une longue traversée, un tunnel ;
Serait-ce le temps qui passe ?
Et avec lui ce refus d’aller vers toujours plus de beauté
Par peur de l’obscurité.
Un passage, une longue traversée, un tunnel ;
Serait-ce le temps qui passe ?
Et avec lui ce refus d’aller vers toujours plus de beauté
Par peur de l’obscurité.

Je m’envole sur les mers,
Je suis ce fleuve qui coule en montant vers le ciel. Je t’ai vu sur un voilier, sur une mer d’un bleu intense et jouant du violon.
Tu m’as dit : « si tu m’aimes, nous goûterons la réalité suprême. »
Je m’envole sur les mers,
Je suis ce fleuve qui coule en montant vers le ciel. Je t’ai vu sur un voilier, sur une mer d’un bleu intense et jouant du violon.
Tu m’as dit : « si tu m’aimes, nous goûterons la réalité suprême. »

Souffle de vie, souffle d’amour
De tourbillon en tourbillon, l’envol de colombes solaires
engendrent des univers.
Vers quel univers, vers quel horizon,
vers quel Autre me pousses-tu ?
Souffle de vie, souffle d’amour
De tourbillon en tourbillon, l’envol de colombes solaires
engendrent des univers.
Vers quel univers, vers quel horizon,
vers quel Autre me pousses-tu ?

Toi, le patriarche qui s’éveille, l’œil allumé sur ton front.
L’orage déferle. Et ces torrents d’eau remplissent l’Univers d’un resplendissement mouvant.
Je suis emportée par tes flots et tout se mélange ; passé, présent, futur… Dieu, déesse, amour.
Toi, le patriarche qui s’éveille, l’œil allumé sur ton front.
L’orage déferle. Et ces torrents d’eau remplissent l’Univers d’un resplendissement mouvant.
Je suis emportée par tes flots et tout se mélange ; passé, présent, futur… Dieu, déesse, amour.

J’entends le bruissement des ailes des anges, qui s’élève
comme des notes vers l’infini.
Vais-je arriver à prendre mon envol ? ce cri sort de ma
poitrine et remplit l’espace.
2 grandes ailes rouges se déploient…
J’entends le bruissement des ailes des anges, qui s’élève
comme des notes vers l’infini.
Vais-je arriver à prendre mon envol ? ce cri sort de ma
poitrine et remplit l’espace.
2 grandes ailes rouges se déploient…